Le Haut-commissariat aux droits de l'homme a dénoncé mardi de "graves violations des droits de l'homme (...) pouvant s'apparenter à des crimes de guerre" au Soudan du Sud. Il a surtout mis en cause les forces gouvernementales.
Entre le 16 avril et le 24 mai, "au moins 232 civils ont été tués et de nombreux autres blessés dans des attaques des forces gouvernementales et leurs alliés (...) dans des zones contrôlées par l'opposition", dénonce le Haut-commissariat aux droits de l'homme dans un rapport paru mardi.
"Les civils ont été pris pour cibles, les personnes âgées, les handicapés et les enfants tués dans de terribles actes de violence - certains victimes de pendaisons ou brûlés vifs dans leurs maisons", affirme le rapport.
Les violences sexuelles ont été utilisées "comme arme de guerre", poursuit l'ONU. "Au moins 120 femmes et jeunes filles ont été victimes de viols".
Appel à la justice
Ces violences s'inscrivent dans un contexte où "les forces de l'opposition ont aussi mené des attaques armées faisant des victimes civiles".
"Les auteurs de ces actes révoltants (...) ne doivent pas pouvoir s'en tirer", affirme le Haut-commissaire aux droits de l'homme Zeid Ra'ad Al Hussein dans le communiqué.
Blog Freedom1/ats
Entre le 16 avril et le 24 mai, "au moins 232 civils ont été tués et de nombreux autres blessés dans des attaques des forces gouvernementales et leurs alliés (...) dans des zones contrôlées par l'opposition", dénonce le Haut-commissariat aux droits de l'homme dans un rapport paru mardi.
"Les civils ont été pris pour cibles, les personnes âgées, les handicapés et les enfants tués dans de terribles actes de violence - certains victimes de pendaisons ou brûlés vifs dans leurs maisons", affirme le rapport.
Les violences sexuelles ont été utilisées "comme arme de guerre", poursuit l'ONU. "Au moins 120 femmes et jeunes filles ont été victimes de viols".
Appel à la justice
Ces violences s'inscrivent dans un contexte où "les forces de l'opposition ont aussi mené des attaques armées faisant des victimes civiles".
"Les auteurs de ces actes révoltants (...) ne doivent pas pouvoir s'en tirer", affirme le Haut-commissaire aux droits de l'homme Zeid Ra'ad Al Hussein dans le communiqué.
Blog Freedom1/ats
0 comments :
Enregistrer un commentaire
التعليق على هذا المقال