«Police, violeurs, assassins !», «Justice pour Théo !», une voix s’est élevée fort en direction du cortège présidentielle qui arpentait les rues d’Aubervilliers le 14 février. Une habitante de la ville qui a vu le président passer à proximité de son lieu de travail a décidé d’adresser au président ce qu’elle avait sur le coeur."La Seine-Saint-Denis est un département où des chances existent" @fhollande à Aubervilliers https://t.co/xX0YwPHKT4— Élysée (@Elysee) 14 février 2017
Interrogé par BFMTV, Virginie a expliqué qu’il était pour elle «important» de «dire au président ce que l’on ressent». Elle a pris l’exemple de son propre enfant pour justifier ses craintes vis à vis des forces de l’ordre : «J’ai un enfant qui a 15 ans et qui pourrait être pris dans ce genre de rafle.»
Avant de conclure : «Ce qui est embêtant c’est que je suis obligé d’apprendre à mon enfant de se méfier de la police alors que normalement, il devrait être en confiance.»
Interrogé par BFMTV, Virginie a expliqué qu’il était pour elle «important» de «dire au président ce que l’on ressent». Elle a pris l’exemple de son propre enfant pour justifier ses craintes vis à vis des forces de l’ordre : «J’ai un enfant qui a 15 ans et qui pourrait être pris dans ce genre de rafle.»
Avant de conclure : «Ce qui est embêtant c’est que je suis obligé d’apprendre à mon enfant de se méfier de la police alors que normalement, il devrait être en confiance.»
En dépit des appels au calme de Théo et du gouvernement, des incidents en banlieue se répètent quotidiennement depuis l'interpellation du jeune homme. La Seine-Saint-Denis mais également d’autres départements tels que les Yvelines ou les Hauts-de-Seine sont concernés.
Blog Freedom1 via agences
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